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đŸ—ș Une courte biographie đŸ—ș

9 octobre 2020



Une rĂ©volution s’Ă©branle lentement, mais une fois mise en place, on ne l’arrĂȘte plus

Ce court article vous est prĂ©sentĂ© Ă  la troisiĂšme personne car il n’est pas destinĂ© Ă  accroĂźtre le narcissisme de l’auteur par un « je Â» omniprĂ©sent, mais plutĂŽt Ă  dĂ©montrer que tout est possible dans l’apprentissage des langues avec force patience, volontĂ© et persĂ©vĂ©rance.

Cette biographie est celle du fondateur de NicoDico, un portail de langues pour apprendre le chinois, japonais et corĂ©en d’une maniĂšre totalement immersive et holistique.

L’auteur parle 5 langues avec grande aisance (français, anglais, japonais, chinois, corĂ©en) et en connaĂźt plusieurs dizaines d’autres anciennes ou rĂ©centes (espagnol, arabe, latin, nĂ©erlandais, sino-tibĂ©tain, chinois archaĂŻque et mĂ©diĂ©val, transeurasien, proto-corĂ©en japonais, borĂ©en, etc.) de maniĂšre passive ou active.


Si vous aimez NicoDico et ses pages, pensez Ă  les soutenir sur Tipeee. La page Tipeee vous permet aussi de rĂ©server des cours de chinois, japonais, corĂ©en et d’histoire.
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Retour sur dix ans d’apprentissage : les langues Ă  notre Ă©poque

[
] Pour quelle raison parler de langues et mots morts, 
Durant que tant d’entre nous les font [re]vivre

[Recueil – collection (2017)]

Depuis fort petit dĂ©jĂ , l’auteur a toujours Ă©tĂ© fascinĂ© par les mots qui se brasĂšrent dĂšs l’enfance en son esprit ; sa fascination pour ces entitĂ©s du langage n’a de surcroĂźt jamais tari.

DĂšs sa plongĂ©e rapide dans les profondeurs de l’Internet, il dĂ©couvrit des sites d’échange de langues, et chercha Ă  amĂ©liorer son anglais vers l’ñge de douze ou treize ans (2008-2009).

Au travers de sites « à l’ancienne » datant des annĂ©es 2000, d’une excellente facture mais d’un style douteux grisĂątre ou bleuĂątre, il parvint Ă  trouver des correspondants avec lesquels pratiquer l’anglais, et s’entraĂźner, quoiqu’ils fussent souvent non-natifs.

Ces Ă©changes se pratiquant par Skype, il s’ouvrit de fil en aiguille au monde virtuel nouveau qui tourbillonnait autour des langues ; son esprit ne l’a depuis plus jamais quittĂ©, s’y engouffrant toujours davantage.

Vers l’ñge de quatorze ans, en 2010, il dĂ©nicha sans le vouloir un nouveau trĂ©sor : la langue japonaise. Son entourage le regarda, Ă©tonnĂ©, tandis qu’il s’immergeait petit Ă  petit dans cette langue Ă©trangĂšre, si diffĂ©rente de l’anglais et du français.

La langue le captiva, tant et si bien qu’il y dĂ©dia la presque totalitĂ© de son temps libre, soit entre quatre Ă  cinq heures chaque jour, voire davantage en fin de semaine.

DĂšs la premiĂšre annĂ©e, il visionna dramas et animĂ©s, des sĂ©ries japonaises, qui entraĂźnĂšrent en tapinois son oreille Ă  la langue. Il reçut pendant quelques mois, des cours de japonais d’une heure et demie par semaine sur Skype, mais hĂ©las, son professeur dut bientĂŽt arrĂȘter, pour des raisons personnelles : il se vit dĂšs lors forcĂ© de s’aventurer tout seul dans les arcanes de la langue.

Les tĂ©lĂ©phones tels que nous les connaissons Ă  l’heure actuelle n’existant point en 2010, il dut alors faire feu de tout bois pour s’amĂ©liorer : des sites pour apprendre le japonais dans cette langue ou en français, la musique, les susdits animĂ©s et dramas, les premiers sites d’échange de langues, voire mĂȘme les consoles de jeux. Tous les supports Ă©taient considĂ©rĂ©s pour se dĂ©sennuyer en japonais, et la curiositĂ© le mut dans sa quĂȘte.

La rĂ©volution de l’époque se devait trĂšs certainement percevoir en le dictionnaire « pop-up », un genre nouveau de dictionnaire qui s’installe dans un navigateur et permet Ă  l’utilisateur d’afficher presque instantanĂ©ment le sens d’un mot ou d’une expression en y passant sa souris. GrĂące Ă  cela, l’accĂšs au monde japonisant se dĂ©voila d’une façon inĂ©galĂ©e : il devint possible de connaĂźtre rapidement le sens des mots et les tournures nouvelles de la langue.

Cela permit Ă  l’auteur, muni d’un petit livre pour apprendre les kanjis — sinogrammes (ou ici) que l’on nomme kanjis au Japon —, d’en apprendre prĂšs de 1500 en une annĂ©e et demie.

Cette mĂȘme annĂ©e, il dĂ©couvrit le site Lang-8, un astre dĂ©sormais chu mais qui autrefois abritait une communautĂ© trĂšs active agissant telle une ruche d’apprenants qui venaient, le plus souvent qu’il leur Ă©tait possible, Ă©crire des articles dans les langues de leur choix.

La combinaison s’opĂ©ra trĂšs vite : un article plusieurs fois par semaine, combinĂ© Ă  la pratique de l’oral aprĂšs une demi-annĂ©e d’apprentissage de la langue, tout en la lisant et l’écoutant tous les jours.

C’est parfois prĂšs de quatre heures qu’il pratiquait l’oral chaque semaine, ne nĂ©gligeant aucune des quatre compĂ©tences nĂ©cessaires Ă  la bonne acquisition d’une langue : le parler, l’écoute, l’écrit ainsi que la lecture.

À l’époque, il l’ignorait mais ces quatre compĂ©tences sont les plus propices pour s’approprier une langue, n’eĂ»t-on point relĂąchĂ© ses efforts.

Le destin lui Ă©tant favorable, Ă  l’ñge de quinze ans (2011), il put se rendre au Japon pour la premiĂšre fois, dans une Ă©cole de langues pour francophones. Mais avant de s’y acheminer, ses convictions et sa fascination pour la langue lui firent se jurer qu’il ne parlerait presque que la langue une fois arrivĂ©, oubliant complĂštement le français.

Or c’est bien ce qui se produisit : pendant prĂšs d’un mois, il se plongea dans les eaux inconnues du japonais, n’hĂ©sitant guĂšre Ă  s’adresser aux gens en leur langue, et ne conversant qu’en japonais Ă  sa famille d’accueil. Bien sĂ»r de celui d’une personne de quinze ans, donc limitĂ© dans ses sujets.

Cette pratique l’éleva vers les sphĂšres moyennes de la langue, et il dĂ©biaisa quelque peu son esprit fort europĂ©anisé ; le japonais devint officiellement sa langue de prĂ©dilection qu’il ne cessa de pratiquer en long et en large.

Les deux annĂ©es suivantes (2012-2013), il retourna au Japon, oĂč il rayonna dans la rĂ©gion du KansaĂŻ, puis se lia de maintes amitiĂ©s nouvelles et, peu Ă  peu, son japonais se dirigea vers de plus hautes sphĂšres. Il se tourna progressivement vers la littĂ©rature en japonais et les matĂ©riaux audio-visuels sans sous-titres.

En trois ans, il rĂ©digea sur le site Lang-8, prĂšs de trois cents articles en japonais, de moyenne ou grande taille, en y mĂȘlant parfois le français pour aider les apprenants de cette langue, mais aussi pour pratiquer lui-mĂȘme. À ce moment Ă©galement il perçut toute l’importance de la langue maternelle, et de ce qu’il la faut choyer abondamment comme un trĂ©sor innĂ©.

Des questions des apprenants et quelques 5000 corrections qu’il rĂ©alisa sur le sus-dit site, il apprit rĂ©ellement sa langue maternelle ; il ouvrit les coffres au trĂ©sor des synonymes et antonymes et cultiva son français comme une langue Ă©trangĂšre. De ses premiers voyages et de la bulle de langue qu’il se crĂ©a journellement chez lui, il accumula les heures de pratique, commençant de la sorte Ă  rĂ©unir de prĂ©cieux indices quant Ă  la naturalitĂ© de la langue japonaise.

Nous lui comptions en moyenne cinq heures par jour de pratique qui ne consistĂšrent jamais en de la grammaire pure ni une quelconque mĂ©thode dĂ©plaisante : l’auteur profita toujours pleinement de son apprentissage comme d’une pluie bĂ©nĂ©fique sur un quotidien fort monotone et scolaire.

Jamais ne se fĂ»t-il ennuyĂ© ou prĂ©cipitĂ© sur des mĂ©thodes qui ne l’amusaient point : animĂ©s, dramas, conversations avec des natifs, musique, logiciels, sites, vidĂ©os, et bientĂŽt applications, chaque support jouait son rĂŽle dans l’apprentissage.

L’avĂšnement des tĂ©lĂ©phones dits « intelligents » et la multiplication soudaine des possibilitĂ©s ainsi que les nouvelles plateformes qui se créÚrent le poussĂšrent Ă  changer ses habitudes et il commença Ă  Ă©crire sur Facebook, oĂč il rĂ©digea, Ă  l’instar de Lang-8, plusieurs dizaines de textes multilingues, en chinois, japonais, corĂ©en, français et anglais.

Okinawa, Japon, août 2016


Retour sur dix ans d’apprentissage : dĂ©couverte de la pensĂ©e sinogrammique


Chaque langue raconte sa propre et unique histoire, d’un ton et style particuliers, presque inimitables en langue Ă©trangĂšre. [
]
[Recueil – Collection (2017)]

En 2013, il dĂ©cida d’apprendre de maniĂšre simultanĂ©e le chinois et le corĂ©en Ă  l’universitĂ©, afin de ne perdre trop de temps. Cette dĂ©cision fut fort intrĂ©pide.

S’il eĂ»t dĂ» reformuler son choix, peut-ĂȘtre eĂ»t-il plus longuement rĂ©flĂ©chi, car cette dĂ©cision fut fort tĂ©mĂ©raire : apprendre les bases de deux langues dans la mĂȘme foulĂ©e se rĂ©vĂ©la une tĂąche extrĂȘmement ardue que peu auraient peut-ĂȘtre osĂ©e.

Durant les quatre premiers mois du premier semestre de l’universitĂ©, il ahana et se plongea plus profondĂ©ment dans les trois langues cette fois, dont il dĂ©couvrit vite, Ă  son grand Ă©tonnement, les similitudes dĂ©sormais tant prĂŽnĂ©es sur ses pages NicoDico.

Accessoirement la mĂȘme annĂ©e, aprĂšs trois ans d’apprentissage du japonais en partant de zĂ©ro, il passa et rĂ©ussit le JLPT N1 du premier coup. Mais cet examen scolaire par excellence lui permit d’entrapercevoir l’acadĂ©misme inique liĂ© aux langues.

Son esprit fort tatamisĂ© par ces longues annĂ©es de japonais, s’enfonça peu Ă  peu dans les univers du corĂ©en et du chinois, et il se confronta alors Ă  deux nouvelles barriĂšres qui le firent souvent trĂ©bucher.

Il fut Ă©galement frappĂ© par l’acadĂ©misme des universitĂ©s et la vilaine engeance qui le prĂ©conisait, sans sembler en prendre mĂȘme conscience elle-mĂȘme. Celle-lĂ  exerce une sorte de tĂ©lĂ©kinĂ©sie malsaine sur les esprits nouveaux et les distord sans honte aucune.  

TrĂšs vite, il comprit que le chemin parcouru en japonais se pouvait appliquer aux deux nouvelles langues, et il rĂ©itĂ©ra les mĂȘmes techniques, faisant derechef arc de tout bois.

Il ne le savait alors, mais de nouvelles connexions (neuronales) se créÚrent dans son esprit pour nouer entre elles les trois langues, puisque ces trois entités sont étroitement liées comme nous le savons désormais (cf. cet article ou celui-ci).

L’annĂ©e suivante, en 2014, il dĂ©cida de se rendre Ă  TaĂŻwan, oĂč son chinois prit un nouvel essor, car il osa, dĂšs son arrivĂ©e, s’adresser aux gens du pays en leur langue (malgrĂ© les nombreuses incomprĂ©hensions lĂ©gitimes et embarrassantes des dĂ©buts) ; puis, voyageant tout seul pendant deux semaines, et logeant chez des amis taĂŻwanais, son chinois s’élança vers des sphĂšres plus Ă©levĂ©es, mais guĂšre assez. La langue chinoise Ă©tait encore trop nouvelle pour lui, aprĂšs neuf mois d’apprentissage, et ne s’engrava en son esprit que superficiellement.

L’annĂ©e qui suivit, en 2015, il dĂ©cida de se rendre en CorĂ©e du Sud, oĂč son corĂ©en bondit vers de plus hautes sphĂšres ; mais, Ă  l’instar de la langue chinoise, il Ă©tait encore trop tĂŽt, et le rĂ©sultat ne se rĂ©vĂ©la que moyennement satisfaisant.

DĂšs cette annĂ©e-lĂ , il s’évertua d’écrire le plus souvent possible en ces langues, tĂącha de lire leur littĂ©rature et redoubla d’efforts pour parler rĂ©ellement ces langues.

Malheureusement, l’ampleur de la tĂąche fut d’autant plus grande qu’il s’agissait alors de monter le niveau de deux langues dans la mĂȘme foulĂ©e, d’émerger de deux profonds abysses.

En 2016, son voyage en Chine immersif de trois semaines l’aida en lui donnant l’impulsion manquante pour pouvoir enfin converser et lire la littĂ©rature qu’il chĂ©rissait tant. La mĂȘme annĂ©e, il sauta ainsi Ă  pieds-joints dans les courants pĂ©lagiques de la littĂ©rature et lut une vingtaine de livres chaque mois en toute langue, rĂ©partissant son temps entre le petit dĂ©jeuner, les trajets en mĂ©tro, et le soir avant de dormir.

En 2017, par trop frustrĂ© de ne pouvoir encore parler sciemment ces langues, il se lança un nouveau dĂ©fi : rattraper le « temps perdu » afin de pouvoir rĂ©ellement converser aussi librement qu’en anglais, français et japonais.

Aussi trouva-t-il une Ă©tude tout Ă  fait fantaisiste montrant qu’un locuteur de langue « (indo-)europĂ©enne » pouvait, en environ 2200 heures d’apprentissage, parler « couramment » ces langues.

Cette étude est tout à fait fantaisiste, rassurez-vous !



Il dĂ©cida de se donner autant d’heures pour parler rĂ©ellement ces langues en une annĂ©e, et divisa une annĂ©e en 2200, obtint environ 6 heures de pratique par jour par langue : sachant qu’un Ă©change d’une heure permet de parler rĂ©ellement environ 30 minutes, cette pratique intensive se rĂ©vĂ©lait donc impossible, voire inhumaine.

Il se lança nĂ©anmoins Ă  corps perdu dans ce nouveau dĂ©fi et Ă©tablit un horaire de langues par semaine, ce qui lui permit de discuter entre quatre Ă  cinq heures par jour avec des natifs du chinois et/ou du corĂ©en. Cela Ă©quivalut strictement Ă  une heure et demie voire deux heures par langue par jour.

Il parvint Ă  maintenir ce rythme de quatre heures de chinois et de corĂ©en au total par semaine durant deux mois, avant de constater d’énormes progrĂšs, mais de prendre une courte pause, au vu de ce rythme extrĂȘmement soutenu.

Il reprit et maintint cet entraĂźnement jusqu’à la fin de la mĂȘme annĂ©e, oĂč il totalisa prĂšs de 120 heures de conversation dans les deux langues, une somme tout Ă  fait bĂ©nĂ©fique, prouvant que l’étude sus-mentionnĂ©e Ă©tait fort Ă©loignĂ©e de la rĂ©alitĂ©, un apprenant n’étant point quelque robot.

Ce challenge intense lui permit de s’exonder de la stagnation et frustration ressenties tout le long des annĂ©es 2015 et 2016, pour enfin s’élever vers les hautes sphĂšres de ces deux langues. DĂšs lors, il augmenta drastiquement le niveau de difficultĂ© dans les deux langues et lut poĂšmes, essais et maints textes en ligne, tout en Ă©crivant dĂ©sormais sur Instagram des textes multilingues au grĂ© de ses envies.

Depuis cette annĂ©e intense, il ne cessa jamais de s’entraĂźner, d’écrire, de pratiquer quoiqu’à un rythme moins intensif, une fois les langues bien ancrĂ©es, et rencontra des amis formidables.

Cela lui permit, dĂšs l’annĂ©e 2019 de crĂ©er NicoDico, un dictionnaire de ces trois langues, mais Ă  prĂ©sent un portail ramifiĂ© opĂ©rant, chez quiconque y entre, une vĂ©ritable tĂ©lĂ©portation vers les arcanes de ces trois langues.

Vers les dĂ©buts de l’annĂ©e 2020, ses pas le conduisirent vers l’histoire, l’archĂ©ologie, l’étymologie, la linguistique, ainsi que maints autres domaines, Ă©tablissant ainsi des ponts qui l’auraient autrefois bien aidĂ© cependant qu’il se dĂ©menait tel un poisson s’asphyxiant sur les rives, hors de son milieu aqueux.

Chine, juillet 2016


Retour sur dix ans d’apprentissage : explorer les arcanes

À prĂ©sent, Ă  toute la communautĂ© NicoDico, il peut prĂ©senter une mĂ©thode nouvelle et rĂ©flĂ©chie, se basant non seulement sur l’expĂ©rience, mais Ă©galement sur les Ă©checs et rĂ©ussites, pour aider tous les apprenants Ă  s’approprier rĂ©ellement les trois langues.

D’une maniĂšre holistique qui mĂȘle de nombreux domaines, il promĂšne, de la façon la plus alacre, les apprenants dans les territoires ancestraux et rĂ©cents des trois langues et de leur culture. Sa mĂ©thode peut permettre aux apprenants les plus motivĂ©s d’économiser de nombreux mois voire annĂ©es d’apprentissage mais Ă©galement de crĂ©er des liens bĂ©nĂ©fiques en leur esprit pour apprendre avec ferveur et donner un sens rĂ©el Ă  leur apprentissage.

Que les apprenants dĂ©butent leur parcours par une ou deux langues, grĂące aux innombrables heures d’apprentissage et de recherches de l’auteur, ils peuvent dĂ©sormais dĂ©bloquer une multitude de clefs pour leur venir en aide.

L’auteur sait dĂ©sormais que NicoDico est une rĂ©volution dans l’apprentissage des trois langues et que la pĂ©dagogie qui y est liĂ©e dĂ©passe de loin tout ce que l’on a prĂŽnĂ© jusqu’à prĂ©sent dans les milieux scolaires et acadĂ©miques.

Mais au-delà de cela, il est présentement convaincu que les apprenants, nonobstant leur ùge ou leur origine, ne se doivent au grand jamais prendre pour des créatures puériles et malléables et que tout le monde peut (aimer à) apprendre. De nombreux membres de la communauté ont maintes fois prouvé et approuvé ce fait.

Alors, si vous lisez ces pages et que vous cherchez de l’aide en ces langues, ou que vous avez longtemps, comme l’auteur, luttĂ© seul contre des moulins Ă  vent, rejoignez dĂšs maintenant la communautĂ© NicoDico.

Vous y trouverez toutes les ressources et l’aide pour rĂ©ellement profiter de la langue que vous apprenez et vous amuser ; car c’est cela, avant tout, le plus important.

Pour citer quelques membres de la communautĂ© qui se reconnaĂźtront :

« Sur NicoDico, on n’a pas l’impression d’apprendre, mais on apprend Â»

« Tu donnes un sens Ă  tout, ce qui nous permet de tout lier Â»

« Je n’ai jamais autant progressĂ© que depuis que j’ai rejoint tes pages Â»

Si vous aimez NicoDico et ses pages, pensez Ă  les soutenir sur Tipeee. La page Tipeee vous permet aussi de rĂ©server des cours de chinois, japonais, corĂ©en et d’histoire.
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