Une rĂ©volution s’Ă©branle lentement, mais une fois mise en place, on ne l’arrĂȘte plus
Ce court article vous est prĂ©sentĂ© Ă la troisiĂšme personne car il nâest pas destinĂ© Ă accroĂźtre le narcissisme de lâauteur par un « je » omniprĂ©sent, mais plutĂŽt Ă dĂ©montrer que tout est possible dans lâapprentissage des langues avec force patience, volontĂ© et persĂ©vĂ©rance.
Cette biographie est celle du fondateur de NicoDico, un portail de langues pour apprendre le chinois, japonais et corĂ©en d’une maniĂšre totalement immersive et holistique.
L’auteur parle 5 langues avec grande aisance (français, anglais, japonais, chinois, corĂ©en) et en connaĂźt plusieurs dizaines d’autres anciennes ou rĂ©centes (espagnol, arabe, latin, nĂ©erlandais, sino-tibĂ©tain, chinois archaĂŻque et mĂ©diĂ©val, transeurasien, proto-corĂ©en japonais, borĂ©en, etc.) de maniĂšre passive ou active.
Si vous aimez NicoDico et ses pages, pensez Ă les soutenir sur Tipeee. La page Tipeee vous permet aussi de rĂ©server des cours de chinois, japonais, corĂ©en et d’histoire.
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Retour sur dix ans dâapprentissage : les langues Ă notre Ă©poque
[âŠ] Pour quelle raison parler de langues et mots morts,
Durant que tant dâentre nous les font [re]vivre
[Recueil â collection (2017)]
Depuis fort petit dĂ©jĂ , lâauteur a toujours Ă©tĂ© fascinĂ© par les mots qui se brasĂšrent dĂšs lâenfance en son esprit ; sa fascination pour ces entitĂ©s du langage nâa de surcroĂźt jamais tari.
DĂšs sa plongĂ©e rapide dans les profondeurs de lâInternet, il dĂ©couvrit des sites dâĂ©change de langues, et chercha Ă amĂ©liorer son anglais vers lâĂąge de douze ou treize ans (2008-2009).
Au travers de sites « à lâancienne » datant des annĂ©es 2000, dâune excellente facture mais dâun style douteux grisĂątre ou bleuĂątre, il parvint Ă trouver des correspondants avec lesquels pratiquer lâanglais, et sâentraĂźner, quoiquâils fussent souvent non-natifs.
Ces Ă©changes se pratiquant par Skype, il sâouvrit de fil en aiguille au monde virtuel nouveau qui tourbillonnait autour des langues ; son esprit ne lâa depuis plus jamais quittĂ©, sây engouffrant toujours davantage.
Vers lâĂąge de quatorze ans, en 2010, il dĂ©nicha sans le vouloir un nouveau trĂ©sor : la langue japonaise. Son entourage le regarda, Ă©tonnĂ©, tandis quâil sâimmergeait petit Ă petit dans cette langue Ă©trangĂšre, si diffĂ©rente de lâanglais et du français.
La langue le captiva, tant et si bien quâil y dĂ©dia la presque totalitĂ© de son temps libre, soit entre quatre Ă cinq heures chaque jour, voire davantage en fin de semaine.
DĂšs la premiĂšre annĂ©e, il visionna dramas et animĂ©s, des sĂ©ries japonaises, qui entraĂźnĂšrent en tapinois son oreille Ă la langue. Il reçut pendant quelques mois, des cours de japonais dâune heure et demie par semaine sur Skype, mais hĂ©las, son professeur dut bientĂŽt arrĂȘter, pour des raisons personnelles : il se vit dĂšs lors forcĂ© de sâaventurer tout seul dans les arcanes de la langue.
Les tĂ©lĂ©phones tels que nous les connaissons Ă lâheure actuelle nâexistant point en 2010, il dut alors faire feu de tout bois pour sâamĂ©liorer : des sites pour apprendre le japonais dans cette langue ou en français, la musique, les susdits animĂ©s et dramas, les premiers sites dâĂ©change de langues, voire mĂȘme les consoles de jeux. Tous les supports Ă©taient considĂ©rĂ©s pour se dĂ©sennuyer en japonais, et la curiositĂ© le mut dans sa quĂȘte.
La rĂ©volution de lâĂ©poque se devait trĂšs certainement percevoir en le dictionnaire « pop-up », un genre nouveau de dictionnaire qui sâinstalle dans un navigateur et permet Ă lâutilisateur dâafficher presque instantanĂ©ment le sens d’un mot ou d’une expression en y passant sa souris. GrĂące Ă cela, lâaccĂšs au monde japonisant se dĂ©voila dâune façon inĂ©galĂ©e : il devint possible de connaĂźtre rapidement le sens des mots et les tournures nouvelles de la langue.
Cela permit Ă lâauteur, muni dâun petit livre pour apprendre les kanjis â sinogrammes (ou ici) que lâon nomme kanjis au Japon â, dâen apprendre prĂšs de 1500 en une annĂ©e et demie.
Cette mĂȘme annĂ©e, il dĂ©couvrit le site Lang-8, un astre dĂ©sormais chu mais qui autrefois abritait une communautĂ© trĂšs active agissant telle une ruche dâapprenants qui venaient, le plus souvent quâil leur Ă©tait possible, Ă©crire des articles dans les langues de leur choix.
La combinaison sâopĂ©ra trĂšs vite : un article plusieurs fois par semaine, combinĂ© Ă la pratique de lâoral aprĂšs une demi-annĂ©e dâapprentissage de la langue, tout en la lisant et lâĂ©coutant tous les jours.
Câest parfois prĂšs de quatre heures quâil pratiquait lâoral chaque semaine, ne nĂ©gligeant aucune des quatre compĂ©tences nĂ©cessaires Ă la bonne acquisition dâune langue : le parler, lâĂ©coute, lâĂ©crit ainsi que la lecture.
Ă lâĂ©poque, il lâignorait mais ces quatre compĂ©tences sont les plus propices pour sâapproprier une langue, nâeĂ»t-on point relĂąchĂ© ses efforts.
Le destin lui Ă©tant favorable, Ă lâĂąge de quinze ans (2011), il put se rendre au Japon pour la premiĂšre fois, dans une Ă©cole de langues pour francophones. Mais avant de sây acheminer, ses convictions et sa fascination pour la langue lui firent se jurer quâil ne parlerait presque que la langue une fois arrivĂ©, oubliant complĂštement le français.
Or câest bien ce qui se produisit : pendant prĂšs dâun mois, il se plongea dans les eaux inconnues du japonais, nâhĂ©sitant guĂšre Ă sâadresser aux gens en leur langue, et ne conversant quâen japonais Ă sa famille dâaccueil. Bien sĂ»r de celui dâune personne de quinze ans, donc limitĂ© dans ses sujets.
Cette pratique lâĂ©leva vers les sphĂšres moyennes de la langue, et il dĂ©biaisa quelque peu son esprit fort europĂ©anisĂ©Â ; le japonais devint officiellement sa langue de prĂ©dilection quâil ne cessa de pratiquer en long et en large.
Les deux annĂ©es suivantes (2012-2013), il retourna au Japon, oĂč il rayonna dans la rĂ©gion du KansaĂŻ, puis se lia de maintes amitiĂ©s nouvelles et, peu Ă peu, son japonais se dirigea vers de plus hautes sphĂšres. Il se tourna progressivement vers la littĂ©rature en japonais et les matĂ©riaux audio-visuels sans sous-titres.
En trois ans, il rĂ©digea sur le site Lang-8, prĂšs de trois cents articles en japonais, de moyenne ou grande taille, en y mĂȘlant parfois le français pour aider les apprenants de cette langue, mais aussi pour pratiquer lui-mĂȘme. Ă ce moment Ă©galement il perçut toute lâimportance de la langue maternelle, et de ce quâil la faut choyer abondamment comme un trĂ©sor innĂ©.
Des questions des apprenants et quelques 5000 corrections quâil rĂ©alisa sur le sus-dit site, il apprit rĂ©ellement sa langue maternelle ; il ouvrit les coffres au trĂ©sor des synonymes et antonymes et cultiva son français comme une langue Ă©trangĂšre. De ses premiers voyages et de la bulle de langue quâil se crĂ©a journellement chez lui, il accumula les heures de pratique, commençant de la sorte Ă rĂ©unir de prĂ©cieux indices quant Ă la naturalitĂ© de la langue japonaise.
Nous lui comptions en moyenne cinq heures par jour de pratique qui ne consistĂšrent jamais en de la grammaire pure ni une quelconque mĂ©thode dĂ©plaisante : lâauteur profita toujours pleinement de son apprentissage comme dâune pluie bĂ©nĂ©fique sur un quotidien fort monotone et scolaire.
Jamais ne se fĂ»t-il ennuyĂ© ou prĂ©cipitĂ© sur des mĂ©thodes qui ne lâamusaient point : animĂ©s, dramas, conversations avec des natifs, musique, logiciels, sites, vidĂ©os, et bientĂŽt applications, chaque support jouait son rĂŽle dans lâapprentissage.
LâavĂšnement des tĂ©lĂ©phones dits « intelligents » et la multiplication soudaine des possibilitĂ©s ainsi que les nouvelles plateformes qui se crĂ©Ăšrent le poussĂšrent Ă changer ses habitudes et il commença Ă Ă©crire sur Facebook, oĂč il rĂ©digea, Ă lâinstar de Lang-8, plusieurs dizaines de textes multilingues, en chinois, japonais, corĂ©en, français et anglais.
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Retour sur dix ans dâapprentissage : dĂ©couverte de la pensĂ©e sinogrammique
Chaque langue raconte sa propre et unique histoire, d’un ton et style particuliers, presque inimitables en langue Ă©trangĂšre. [âŠ]
[Recueil â Collection (2017)]
En 2013, il dĂ©cida dâapprendre de maniĂšre simultanĂ©e le chinois et le corĂ©en Ă lâuniversitĂ©, afin de ne perdre trop de temps. Cette dĂ©cision fut fort intrĂ©pide.
S’il eĂ»t dĂ» reformuler son choix, peut-ĂȘtre eĂ»t-il plus longuement rĂ©flĂ©chi, car cette dĂ©cision fut fort tĂ©mĂ©raire : apprendre les bases de deux langues dans la mĂȘme foulĂ©e se rĂ©vĂ©la une tĂąche extrĂȘmement ardue que peu auraient peut-ĂȘtre osĂ©e.
Durant les quatre premiers mois du premier semestre de lâuniversitĂ©, il ahana et se plongea plus profondĂ©ment dans les trois langues cette fois, dont il dĂ©couvrit vite, Ă son grand Ă©tonnement, les similitudes dĂ©sormais tant prĂŽnĂ©es sur ses pages NicoDico.
Accessoirement la mĂȘme annĂ©e, aprĂšs trois ans d’apprentissage du japonais en partant de zĂ©ro, il passa et rĂ©ussit le JLPT N1 du premier coup. Mais cet examen scolaire par excellence lui permit d’entrapercevoir l’acadĂ©misme inique liĂ© aux langues.
Son esprit fort tatamisĂ© par ces longues annĂ©es de japonais, sâenfonça peu Ă peu dans les univers du corĂ©en et du chinois, et il se confronta alors Ă deux nouvelles barriĂšres qui le firent souvent trĂ©bucher.
Il fut Ă©galement frappĂ© par lâacadĂ©misme des universitĂ©s et la vilaine engeance qui le prĂ©conisait, sans sembler en prendre mĂȘme conscience elle-mĂȘme. Celle-lĂ exerce une sorte de tĂ©lĂ©kinĂ©sie malsaine sur les esprits nouveaux et les distord sans honte aucune. Â
TrĂšs vite, il comprit que le chemin parcouru en japonais se pouvait appliquer aux deux nouvelles langues, et il rĂ©itĂ©ra les mĂȘmes techniques, faisant derechef arc de tout bois.
Il ne le savait alors, mais de nouvelles connexions (neuronales) se créÚrent dans son esprit pour nouer entre elles les trois langues, puisque ces trois entités sont étroitement liées comme nous le savons désormais (cf. cet article ou celui-ci).
LâannĂ©e suivante, en 2014, il dĂ©cida de se rendre Ă TaĂŻwan, oĂč son chinois prit un nouvel essor, car il osa, dĂšs son arrivĂ©e, sâadresser aux gens du pays en leur langue (malgrĂ© les nombreuses incomprĂ©hensions lĂ©gitimes et embarrassantes des dĂ©buts) ; puis, voyageant tout seul pendant deux semaines, et logeant chez des amis taĂŻwanais, son chinois sâĂ©lança vers des sphĂšres plus Ă©levĂ©es, mais guĂšre assez. La langue chinoise Ă©tait encore trop nouvelle pour lui, aprĂšs neuf mois dâapprentissage, et ne sâengrava en son esprit que superficiellement.
LâannĂ©e qui suivit, en 2015, il dĂ©cida de se rendre en CorĂ©e du Sud, oĂč son corĂ©en bondit vers de plus hautes sphĂšres ; mais, Ă lâinstar de la langue chinoise, il Ă©tait encore trop tĂŽt, et le rĂ©sultat ne se rĂ©vĂ©la que moyennement satisfaisant.
DĂšs cette annĂ©e-lĂ , il sâĂ©vertua dâĂ©crire le plus souvent possible en ces langues, tĂącha de lire leur littĂ©rature et redoubla dâefforts pour parler rĂ©ellement ces langues.
Malheureusement, lâampleur de la tĂąche fut dâautant plus grande quâil sâagissait alors de monter le niveau de deux langues dans la mĂȘme foulĂ©e, dâĂ©merger de deux profonds abysses.
En 2016, son voyage en Chine immersif de trois semaines lâaida en lui donnant lâimpulsion manquante pour pouvoir enfin converser et lire la littĂ©rature quâil chĂ©rissait tant. La mĂȘme annĂ©e, il sauta ainsi Ă pieds-joints dans les courants pĂ©lagiques de la littĂ©rature et lut une vingtaine de livres chaque mois en toute langue, rĂ©partissant son temps entre le petit dĂ©jeuner, les trajets en mĂ©tro, et le soir avant de dormir.
En 2017, par trop frustrĂ© de ne pouvoir encore parler sciemment ces langues, il se lança un nouveau dĂ©fi : rattraper le « temps perdu » afin de pouvoir rĂ©ellement converser aussi librement quâen anglais, français et japonais.
Aussi trouva-t-il une Ă©tude tout Ă fait fantaisiste montrant quâun locuteur de langue « (indo-)europĂ©enne » pouvait, en environ 2200 heures dâapprentissage, parler « couramment » ces langues.
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Il dĂ©cida de se donner autant dâheures pour parler rĂ©ellement ces langues en une annĂ©e, et divisa une annĂ©e en 2200, obtint environ 6 heures de pratique par jour par langue : sachant quâun Ă©change dâune heure permet de parler rĂ©ellement environ 30 minutes, cette pratique intensive se rĂ©vĂ©lait donc impossible, voire inhumaine.
Il se lança néanmoins à corps perdu dans ce nouveau défi et établit un horaire de langues par semaine, ce qui lui permit de discuter entre quatre à cinq heures par jour avec des natifs du chinois et/ou du coréen. Cela équivalut strictement à une heure et demie voire deux heures par langue par jour.
Il parvint Ă maintenir ce rythme de quatre heures de chinois et de corĂ©en au total par semaine durant deux mois, avant de constater dâĂ©normes progrĂšs, mais de prendre une courte pause, au vu de ce rythme extrĂȘmement soutenu.
Il reprit et maintint cet entraĂźnement jusquâĂ la fin de la mĂȘme annĂ©e, oĂč il totalisa prĂšs de 120 heures de conversation dans les deux langues, une somme tout Ă fait bĂ©nĂ©fique, prouvant que lâĂ©tude sus-mentionnĂ©e Ă©tait fort Ă©loignĂ©e de la rĂ©alitĂ©, un apprenant nâĂ©tant point quelque robot.
Ce challenge intense lui permit de sâexonder de la stagnation et frustration ressenties tout le long des annĂ©es 2015 et 2016, pour enfin sâĂ©lever vers les hautes sphĂšres de ces deux langues. DĂšs lors, il augmenta drastiquement le niveau de difficultĂ© dans les deux langues et lut poĂšmes, essais et maints textes en ligne, tout en Ă©crivant dĂ©sormais sur Instagram des textes multilingues au grĂ© de ses envies.
Depuis cette annĂ©e intense, il ne cessa jamais de sâentraĂźner, dâĂ©crire, de pratiquer quoiquâĂ un rythme moins intensif, une fois les langues bien ancrĂ©es, et rencontra des amis formidables.
Cela lui permit, dĂšs lâannĂ©e 2019 de crĂ©er NicoDico, un dictionnaire de ces trois langues, mais Ă prĂ©sent un portail ramifiĂ© opĂ©rant, chez quiconque y entre, une vĂ©ritable tĂ©lĂ©portation vers les arcanes de ces trois langues.
Vers les dĂ©buts de lâannĂ©e 2020, ses pas le conduisirent vers lâhistoire, lâarchĂ©ologie, lâĂ©tymologie, la linguistique, ainsi que maints autres domaines, Ă©tablissant ainsi des ponts qui lâauraient autrefois bien aidĂ© cependant quâil se dĂ©menait tel un poisson sâasphyxiant sur les rives, hors de son milieu aqueux.
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Retour sur dix ans dâapprentissage : explorer les arcanes
Ă prĂ©sent, Ă toute la communautĂ© NicoDico, il peut prĂ©senter une mĂ©thode nouvelle et rĂ©flĂ©chie, se basant non seulement sur lâexpĂ©rience, mais Ă©galement sur les Ă©checs et rĂ©ussites, pour aider tous les apprenants Ă sâapproprier rĂ©ellement les trois langues.
Dâune maniĂšre holistique qui mĂȘle de nombreux domaines, il promĂšne, de la façon la plus alacre, les apprenants dans les territoires ancestraux et rĂ©cents des trois langues et de leur culture. Sa mĂ©thode peut permettre aux apprenants les plus motivĂ©s dâĂ©conomiser de nombreux mois voire annĂ©es dâapprentissage mais Ă©galement de crĂ©er des liens bĂ©nĂ©fiques en leur esprit pour apprendre avec ferveur et donner un sens rĂ©el Ă leur apprentissage.
Que les apprenants dĂ©butent leur parcours par une ou deux langues, grĂące aux innombrables heures dâapprentissage et de recherches de lâauteur, ils peuvent dĂ©sormais dĂ©bloquer une multitude de clefs pour leur venir en aide.
Lâauteur sait dĂ©sormais que NicoDico est une rĂ©volution dans lâapprentissage des trois langues et que la pĂ©dagogie qui y est liĂ©e dĂ©passe de loin tout ce que lâon a prĂŽnĂ© jusquâĂ prĂ©sent dans les milieux scolaires et acadĂ©miques.
Mais au-delà de cela, il est présentement convaincu que les apprenants, nonobstant leur ùge ou leur origine, ne se doivent au grand jamais prendre pour des créatures puériles et malléables et que tout le monde peut (aimer à ) apprendre. De nombreux membres de la communauté ont maintes fois prouvé et approuvé ce fait.
Alors, si vous lisez ces pages et que vous cherchez de lâaide en ces langues, ou que vous avez longtemps, comme lâauteur, luttĂ© seul contre des moulins Ă vent, rejoignez dĂšs maintenant la communautĂ© NicoDico.
Vous y trouverez toutes les ressources et lâaide pour rĂ©ellement profiter de la langue que vous apprenez et vous amuser ; car câest cela, avant tout, le plus important.
Pour citer quelques membres de la communauté qui se reconnaßtront :
« Sur NicoDico, on nâa pas lâimpression dâapprendre, mais on apprend »
« Tu donnes un sens à tout, ce qui nous permet de tout lier »
« Je nâai jamais autant progressĂ© que depuis que jâai rejoint tes pages »
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